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Etre
bénévole pour Gen-Ibérica
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Pour connaître, il faut
pratiquer
Le bénévolat doit être une découverte Découverte d'une passion, une rencontre avec ce qui doit compter dans sa propre vie, une curiosité qui demande depuis longtemps à être satisfaite ! Nos centres d'intérêts sont souvent divers et multiples et bien sûr, on se disperse joyeusement avec un petit sentiment de gaspillage d'énergie. Et puis, parmi tous nos projets, il s'en détache un ou deux et pour eux, on se donne totalement. GEN-IBERICA appartient à cette catégorie de passion qui fédère les générations. Et nous sommes là, dispensant notre temps, rognant nos vies de famille, puisant dans nos réserves l'énergie exigée. J'ai, en outre, le privilège d'accompagner ma fille Valérie dans ces creusements pour atteindre nos racines. Il faut aussi un modèle auquel on va presque s'identifier pour intégrer une équipe de " bénévoles " qui va aider les autres, les conseiller, les diriger et leur montrer que tout devient possible " ENSEMBLE ". Bien sûr, j'appartiens à d'autres associations qui réclament une autre forme de présence et une autre définition des missions, mais GEN-IBERICA est tellement ouvert au monde d'hier et d'aujourd'hui que notre adhésion devient un cadeau que l'on reçoit. Je souhaite que tous nos adhérents ressentent le même plaisir à converser, à échanger et à participer. Gardons précieusement cette équipe d'animateurs qui ont su donner le ton et surtout un vrai sentiment de pérennité et de confiance. ![]() |
Les bénévoles
de Gen-Ibérica
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Valérie Franco Courtillet - fondatrice de Gen-ibérica
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C’est la psychogénéalogie, en 2001, qui m’a amenée à
la généalogie, par la lecture de 2 livres-clefs. Celui de Nina Canault
« Comment paie-t-on les fautes de ses ancêtres » et celui de Anne Ancelin
Schutzenberger et son incontournable « Aïe mes aïeux ! ». Je réalisais
ensuite un grand voyage initiatique avec mon père d’origine espagnole,
en avril de la même année, à la recherche de traces semées par le grand
oncle Martin FRANCO, qui avait laissé derrière lui en regagnant l’Espagne
en 1936, une multitude de questionnements de la famille. Faute de percer
le mystère, nous avons trouvé beaucoup d’éléments de réponses qui nous
ont permis de reconstruire son itinéraire et celui de sa famille et
de mes arrière-grands-parents. Par la même occasion, nous avons eu la
chance de suivre les processions religieuses de la semaine sainte à
Cartagena et Lorca, et enchantés de notre séjour nous y sommes retournés
en 2002, en famille. J’ai ensuite entrepris de faire des recherches
en France sur ma branche maternelle dans les départements du Rhône et
de la Loire, puis la branche de mon époux dans les Vosges. Il est vrai
que tout ce travail est passionnant et on se trouve soudain comme «
habité » lorsqu’on se met à chercher. Forte de mon expérience sur l’Espagne
, je me suis engagée au service des autres, en 2006, afin de communiquer
et de partager ma passion et le fruit de mes années de recherches. Après
la création de l’antenne Franco-Espagnole j’ai créé Gen-Ibérica en octobre
2008 qui porte en elle la force de caractère et la résistance aux épreuves
de la vie de ma grand-mère, Marie FRANCO LOPEZ, qui nous a quittés l’année
de mes 20 ans, en 1986.
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Valérie Franco-Courtillet Membre fondateur et vice-présidente de Gen-Ibérica |
Brigitte
Sancho Bourdenet
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Mes origines, françaises
par ma mère, espagnoles par mon père, m’ont poussée depuis l’enfance
à chercher d’où je venais. Certains sujets, tel l’arrière grand-père
né de père inconnu, ne devaient pas être abordés et ont largement contribué
à aiguiser ma curiosité. Lorsqu’un cousin de ma mère a appris que je
m’intéressais à nos ancêtres communs, il m’a donné un arbre généalogique
sur lequel il travaillait depuis de nombreuses années, en effectuant
des recherches aux archives de l’Allier. Ce fut le déclic. J’avais attrapé
un virus qui ne me quitterait plus. Plus récemment, je me suis intéressée
de plus près à mes aïeux espagnols, pour le plus grand plaisir de mon
père qui n’avait jamais franchi le pas. Arrivé en France à l’âge de
7 ans, il est retourné pour la première fois en Espagne à 31 ans et
avait perdu le contact avec de nombreux membres de sa famille. L’étude
des langues étrangères m’a toujours passionnée et c’est tout naturellement
que je me suis orientée vers un BTS de traducteur. Aujourd’hui, je suis
assistante de direction à Besançon. Je lis énormément de livres en anglais,
beaucoup moins en espagnol (honte à moi !). Quand j’ai découvert l’association
Gen-Ibérica, j’ai immédiatement adhéré et je suis admirative du travail
réalisé depuis un an par Valérie et Mélanie. L’éloignement géographique
ne me permet malheureusement pas une participation aussi active que
je le souhaiterais, c’est pourquoi j’ai été très heureuse de réaliser
ma première traduction cet été, à la demande de Valérie. Je peux ainsi
apporter ma petite contribution à l’association. Je prends un immense
plaisir à déchiffrer les noms de famille, les prénoms, les lieux et
les métiers d’autrefois. Merci à Valérie de m’avoir accordé sa confiance.
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![]() Brigitte Sancho Bourdenet Secrétaire depuis le 19.06.2010 |
Etienne
Franco
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![]() Etienne FRANCO Membre fondateur et trésorier intérimaire jusqu'au 19.05.2012 (date de l'AG) |
Que
peut-on apporter à une association ? Quels sont les échanges qui vont
enrichir les deux parties ? D’abord et avant tout, l’envie de connaître, de savoir. Confier aux autres ses joies, ses peines, ses souvenirs et construire avec eux un projet de vie. Je donne à GENIBERICA, avec souvent une plume malhabile, des tranches de ma vie, de celle de mes ancêtres. Ce sont des témoignages sous la forme de récit ou parfois, encore plus simplement de bribes de souvenirs qui sont accrochées à notre enfance. Pour moi, je dévoile avec une pudeur familiale, les aventures qui ont jalonné mes proches et dont l’exemple ou les destinations peuvent aider à comprendre les autres et se dire « eux aussi ont eu leur part de souffrances et nous avons un devoir de mémoire ». Et puis, il y a aussi nos réseaux : famille, amis, relations professionnelles et plus.. J’ai demandé à intégrer l’Association des Familles Espagnoles de ma ville et avec eux je suis en prise directe sur la vie des espagnols en Espagne et aussi sur leurs conditions d’intégration en France. Cela fera sans doute, l’objet d’un prochain témoignage! Je leur parle et leur remets des documents sur nos démarches et nos actions. J’ai aussi rencontré le correspondant de presse de notre secteur et nous avons pu réaliser, avec ma fille, un long article imagé qui n’est pas resté sans écho, surtout auprès de nos espagnols et j’ai eu des appels pour des précisions et « des remerciements », car nous avons, ensemble, une démarche humaine et généreuse. Je ne suis qu’un petit rouage dans notre mécanique associative et je sais que nous avons besoin de tout le monde et d’une équipe capable de piloter. Nous avons tout cela, nous pouvons donc réaliser avec plénitude notre rêve de découvrir, avec exactitude nos racines. |
Danièle
Mérigaud
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Je suis retraitée et habite St Avertin. J'ai toujours fait du bénévolat, surtout auprès des personnes âgées (visites, courses…). J'aide également depuis 1 an, Valérie, qui est la maman d'un ami de mon petit-fils par amitié pour son association Gen-Ibérica. Par exemple : la mise sous enveloppe de documents, bulletins d'adhésion, l'aide à la préparation de notre première Assemblée Générale d'avril 2009, présence sur le stand Gen-Ibérica pour le Festival des horizons à st avertin fin juin 2009, etc. |
Yves Gasulla | ||
Moi et la Généalogie
Comment suis je venu à la généalogie ?: Victime d'un accident en 1994, je me suis retrouvé avec une main gauche immobilisée durant sept mois. C'est au cours de cette période que j'ai débuté la généalogie de ma famille et celle de ma femme. J'ai recueilli divers renseignements dans ma famille, ainsi que quelques papiers et photos. Ensuite je suis allé aux Archives Départementales de la Loire consulter l'Etat Civil, la série 4M, le recensement et bien d'autres. Très rapidement mes recherches se sont tournées vers l'Espagne, c'est à ce moment-là que les difficultés se sont présentées. Premièrement la langue que je ne parle pas du tout, puis l'orientation de mes recherches qui s'avérèrent assez floue. Il y a quinze ans, la généalogie en Espagne n'était qu'à ses débuts, nous n'avions pas tous les outils qui existent aujourd'hui. |
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J'ai mis mes recherches de
côté en ce qui concernait l'Espagne, y retournant que lorsque j'avais
de nouvelles pistes. Parallèlement en 2000, avec des amis nous avons décidé
de créer " Ancêtre Généalogie du Forez ", puis en 2006 nous avons ouvert
notre site de généalogie " Généal42 "; j'en suis le Président. C'est au
cours de recherches sur internet que je suis tombé sur le site Gen-Ibérica.
C'était le premier vrai site français dédié à la généalogie en Espagne.
Le site m'a de suite intéressé. J'ai donc pris contact avec Valérie et
avons convenu d'un rendez-vous. Valérie m'a présenté l'Association et
les projets souhaités pour le site. De mon côté je lui ai présenté
notre Association et comment était structuré notre site. J'ai ensuite,
développé quelques idées pour le site Gen-Ibérica ; telles que : la création
d'une rubrique " Cartes postales Anciennes d'Espagne ", la réalisation
d'une base de données photographique, à partir des photos de M. Munoz
(photographie des Cartes Individuelles d'Identité des étrangers Espagnols
dans la Loire, environ 7 000 photos) puis les différentes études que j'ai
effectuées sur les étrangers espagnols dans la Loire, mais aussi une maquette
de plaquette publicitaire pour Gen-Ibérica. Nous avons gardé contact par
e-mail. Nous nous sommes de nouveau rencontrés, pour approfondir divers
projets pour le site, je lui ai remis les plaquettes publicitaires de
l'association. La difficulté pour moi est de travailler sur les deux associations,
mais mes recherches d'idées peuvent aller à l'une ou à l'autre et peut-être
aux deux. Beaucoup de travail en perspective et d'idées a trouver. Aujourd'hui,
de nouvelles technologies, supports, Internet et Gen-Ibérica nous aident
à rechercher et mieux connaître les us et coutumes de nos ancêtres.
L'Espagne est un pays formidable et riche en Archives. Elle s'ouvre de
plus en plus à la généalogie, malgré quelques difficultés vis-à-vis des
Diocèses, certains curés et directeurs d'Archives sont encore rétissant.
Beaucoup de progrès ont été faits et reste à faire. Mais n'oublions pas
que la généalogie est une science. Les recherches demandent ; investissement,
rigueur et patience. Il est vrai qu'au jour d'aujourd'hui mon intérêt
pour l'Espagne est plus grand, mes racines se trouvent là-bas. Je m'imagine
quelle crève-cœur cela du être pour nos ancêtres de laisser famille, amis
et leur terre natale. Nos racines sont ancrées profondément dans notre
cœur et c'est pour ces raisons que nous aimons tant notre pays : l'Espagne. |
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Quelques travaux utiles | ||
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Mélanie
Ruiz Pointereau - secrétaire de Gen'Iberica
du 1er octobre 2008 au 25 février 2010
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![]() Membre d'honneur et co-fondatrice de Gen-Iberica |
Suite
au décès de ma grand-mère, j'ai voulu savoir d'où je venais, comme un
besoin obsessionnel de rester en contact avec elle. Je ne connaissais
pas grand-chose d'elle, de sa vie, si ce n'est ses frères et sœurs mais
rien qui me rattachait à mes racines. J'ai donc commencé ma généalogie
en Sardaigne. De fils en aiguille, j'ai cherché à savoir comment elle
avait rencontré mon grand-père. Et le souvenir de mon arrière-grand-mère,
Maria, est revenu avec son accent espagnol si prononcé. C'est ainsi que
mes recherches en Espagne ont débuté. En 2007, j'ai été confrontée à un
blocage. J'ai alors pris contact avec Valérie et nous nous sommes rencontrées
pour la première fois lors du congrès de Tours en 2007. Pendant un an,
j'ai aidé Valérie pour les demandes qui lui parvenaient. Puis, petit à
petit, l'idée à germer de créer notre propre association. Nous avions
plein de projets à mettre en œuvre. Et voilà !!! Notre amitié nous a permis
de réaliser ce rêve dont nous sommes particulièrement fières. J'aide les adhérents dans leurs recherches, je m'occupe de la revue (mise en page et rédaction d'articles), et me déplace sur les manifestations avec Valérie pour partager et faire vivre notre passion. |
Découvrez
nos méthodes de recherches avec nos conseils avec le
Guide de recherches généalogiques en Espagne |
1ère Version du Guide
![]() Une 2ème version du Guide a été préparé et disponible auprès de l'association. |
Paul Povoas | ||
J'ai connu Valérie il y a quelques années
lorsque nous avions préparé ensemble, sous les cocotiers
non loin d'une plage de l'Hérault, une interview pour la revue
"Votre Généalogie", sur la généalogie
et l'école.
Si je me souviens bien, c'était en août 2007. Et enfin, le numéro 21 de "Votre Généalogie" est paru dans les kiosques fin septembre. |
![]() |
![]() Membre d'honneur et webmaster de Gen-Iberica |
C'est à ce moment là qu'en Touraine,
tous les exemplaires présents dans les points de vente ont été
épuisés. On ne comprend pas pourquoi ce numéro, à
présent indisponible auprès de l'éditeur, mais existant
au format PDF, a connu une vente record. D'ailleurs, on se demande toujours
pourquoi ? J'ai une vague idée et je mettrai ma main au feu de
l'identité de la personne à l'origine de ce sursaut d'intérêt
pour ce numéro : Valérie. J'ignorai qu'elle pouvait être aussi influente. Pour cette jeune femme, reconnue pour sa passion de la généalogie et sa volonté d'aller de l'avant, c'est alors que je l'ai soutenue pour un voeu pieux : la création de Gen-Ibérica. Après quelques hésitations, dues certainement à un manque de confiance au départ...voilà que l'antenne généalogique pour l'Espagne du Centre Généalogique de Touraine devient Gen-Ibérica. C'est vrai que je me sens un peu responsable d'avoir poussé Valérie à faire le saut. |
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Je ne regrette pas de l'avoir poussé à s'émanciper
et former une nouvelle association basée sur l'entraide généalogique
en Espagne. L'équipe mise en place a rapidement su se faire entendre,
en participant à des salons de généalogie, en lançant
la publication de Hola Gen-Ibérica, en communicant comme le font
si bien Valérie et Mélanie, je ne pouvais qu'être
séduit d'adhérer et devenir bénévole au sein
de Gen-Ibérica. C'est vrai que je donne un peu de mon temps pour
le site internet de l'association, qui a initialement existé sous
une autre forme, grâce à Erik Asselin. Mes origines espagnoles, par ma mère (famille ALONSO, dans la région de Pontevedra), et du côté de mon père, par sa mère : les familles RUIZ, SANGUINO.... dans les secteurs de BADAJOZ et CACERES, m'incitent encore plus à promouvoir l'esprit d'entraide de Gen-Ibérica, notamment dans les revues dont j'anime certaines rubriques "people" sur "Votre Généalogie" et "Généalogique". Viva Gen-Iberica !!! En savoir plus sur moi : sur http://asso.nordnet.fr/c.h.g.wasquehal/genealogies/povoas.htm ou sur Facebook ou Copainsdavant ::::: |
Henri Hernandez | ||
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Je n'ai pas eu la chance de connaître mes grands-pères,
tous deux issus d'un même village d'Estrémadure. C'est la raison qui
m'a attiré vers la généalogie.Je me suis rendu compte que la généalogie
c'est aussi de l'histoire concrète, devant des actes d'état civil, des
preuves de déplacements, des métiers exercés, on ne peut que tirer des
conclusions sur du vécu par nos aïeux. En dehors des informations recherchées
il y a toujours une moisson de découvertes inattendues et intéressantes.
Pour l'heure je tiens à jour la liste des adhérents de l'association
(Patronymes et lieux recherchés). De plus, et ce n'est pas tout à fait
hors sujet, je m'intéresse au flamenco et à la lutherie.
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